Daniel Martínez est un chercheur né. Témoin et conteur d’histoires lointaines, entre journalisme et documentaire, il a réussi à diffuser ses images dans le monde entier, par le biais de festivals de cinéma et de médias internationaux tels que HBO ou Associated Press. Il propose d’investir dans de nouvelles méthodologies créatives, en offrant des espaces de création audiovisuelle basés sur les aspects ordinaires de la vie et sur le besoin urgent d’enregistrer et de diffuser des témoignages à la première personne du patrimoine culturel et des luttes des peuples indigènes. Il est né en Espagne par hasard et vit au Pérou depuis longtemps. Ayant toujours un pied dans la jungle et l’autre dans les rues de n’importe où, il a travaillé pour des entités importantes telles qu’Amnesty International, la Croix-Rouge, l’UNICEF ou l’OIM « Artiviste », dans une bataille sans fin contre son identité et son engagement social qui le pousse à prendre part à des mouvements sociaux et à se sentir partie prenante de ces derniers.

Le besoin de grandir de manière créative l’a amené au cinéma, à partir d’expériences empiriques et d’émotions viscérales, un domaine dans lequel il essaie d’impulser de petits changements pour construire un monde meilleur (plus humain), un monde plus juste et plus solidaire.

Son film Ciclo de carga a reçu le Prix du Meilleur Contenu Digital lors du FIFAC 2022.