Author: Festival Fifac

les maitres de la pagaie

À Saint-Laurent du Maroni en Guyane, Rivaldo, Marotte et Sergio participent à la fabrication d’une pirogue. Grâce à ce projet et à leur smartphone, ils vont tenter de s’ouvrir sur le monde et se raconter.
RÉSUMÉ
Marotte, Sergio et Rivaldo habitent en Guyane. Atteints de déficience mentale ou physique, ils participent au projet de fabrication d’une pirogue de course en résine. Avec leur smartphone, ils vont raconter le projet, se raconter et tenter d’y construire un espace d’expression entre leur famille, la structure médico-sociale qui les accompagne et la société dans laquelle ils n’ont pas forcément trouvé leur place.
BIO DE L’AUTEUR

Après un Master en Réalisation et Production Documentaire à l’université Lyon 2, François Gruson multiplie les expériences en production, d’abord à Lyon puis au Cambodge avant d’atterrir en Guyane. En plus de produire des productions documentaires, il en réalise certains. Le projet Les Maîtres de la Pagaie en fait partie.

BIO DU PRODUCTEUR

5° Nord Productions est une société de production audiovisuelle créée en décembre 2010, en Guyane, à Saint-Laurent du Maroni. Ses réalisations sont essentiellement du documentaire, du reportage, des films institutionnels et de la captation de spectacles.

5° Nord Productions accompagne de nombreux tournages sur l’ouest guyanais et le fleuve Maroni avec un réseau de piroguiers, fixeurs, interprètes, régisseurs, pouvant se traduire ou non en production exécutive.
L’ambition de 5°Nord Productions est avant tout de produire des films documentaires et des contenus digitaux sur les différentes cultures et communautés présentes en Guyane et dans les territoires voisins. Il s’agit également d’ouvrir le regard sur le monde et de proposer des contenus engagés mettant en avant des modes de vies singuliers, souvent minoritaires et militants.

NOTE D’INTENTION

Guyane, Saint-Laurent du Maroni. À l’abri d’un soleil de plomb, Marotte, Rivaldo et Sergio s’affairent sur la partie intérieure d’une pirogue.
Les outils qu’ils utilisent sont différents de ceux utilisés pour les pirogues traditionnelles. Celle sur laquelle ils travaillent est en résine. Leur projet avec cette pirogue, c’est celui de participer à la célèbre course de pirogue de Guyane, celle des Maîtres de la Pagaie.

Rivaldo et Marotte sont atteints d’une déficience mentale, Sergio est malvoyant.
Ce projet de fabrication de pirogue a été mis en place par la structure médico-sociale qui accompagne. Il a pour but de leur redonner confiance en eux et de se confronter au monde du travail.
Pour les mener à la course des Maîtres de la Pagaie ils suivront des cours de Kayak, car Sergio, Rivaldo et Marotte ne savent pas naviguer à la pagaie.
Chacun d’eux a grandi avec en tête le fait d’être différent des autres.
En plus de leur déficience certains conflits et trajectoires familiales les ont petit à petit isolés du reste de la société.
Leur vécu, leur vision, leurs questionnements, rarement ils ne les expriment. Pourtant ils font partie intégrante de leur quotidien.

Dans cette série documentaire il sera question de suivre l’avancée de la fabrication de la pirogue de course par les trois jeunes mais aussi la possibilité pour Marotte, Sergio et Rivaldo de documenter leur quotidien et de raconter leur histoire grâce à un smartphone.
De ces images prises par les jeunes découleront des récits, des rêves, des envies, des frustrations, des souvenirs.
Il ne sera pas forcément question de raconter sa vie mais plutôt de créer son espace d’expression, son monde, truffé de métaphores, d’images vécues, de témoignages ou de réactions sur l’instant. Des choses digérées, d’autres non.
Cette parole prendra la forme que chacun voudra lui donner, elle pourra s’articuler par le chant, la poésie ou de manière complètement spontanée par ce que l’instant filmé aura provoqué.

SYNOPSIS

Sur une piste cyclable au goudron usé, Rivaldo pédale fièrement sur sa monture. Casquette vissée sur le crâne, il toise les voitures qu’il croise sur sa route.
Le soleil de plomb de la Guyane le transporte jusqu’à chez lui.

– « Fa yu pasa a mmateng ya ? »
(Comment ça a été ce matin ?) lui demande sa sœur
– « Wi bee lapu boto. Tamaa aw dee wi sa scur »
(Avec de la pâte, on a bouché des trous. Demain ce sera sec, on pourra finir et poncer)
Le Taki-Taki, la langue locale parlée par les bushinengé, fait rythmer les rues et les quartiers de Saint-Laurent du Maroni.
Avec Marotte et Sergio, deux autres jeunes bushinengé, Rivaldo participe à la construction d’une pirogue en résine.
Ce projet, ils l’ont mis en place avec les adultes-relais de la structure médico-sociale qui les accompagne depuis plusieurs années.

Marotte, jeune femme d’une vingtaine d’années, se prépare à partir de chez elle.
Sur la route pour l’atelier le chant de la prière a pris place dans l’habitacle. Le paysage défile et Marotte se laisse divertir par un avion qui décolle de la piste de l’aérodrome. Avec son smartphone, elle film la scène et zoom sur l’avion déjà haut dans le ciel.

– « Il va où cet avion ? Maripasoula ? »
– « Je ne sais pas, souvent ceux qui vont à Maripasoula font un virage serré après le décollage »
Marotte essaie de voir si l’avion va effectuer une manœuvre ou non, mais bientôt les nuages gris dans le ciel cacheront l’appareil.

Dans la maison d’un lotissement de Saint-Laurent du Maroni, Sergio prépare le repas pour les enfants autour de lui. Certains sont ses frères et sœurs d’autres ses cousins et cousines.

En leur demandant du calme il se baisse et sèche les larmes de sa jeune sœur,

– « Saide yee kee woo njang aini 15 miniti go sidong wakiti »
(Pourquoi tu pleures ? On mange dans 15 minutes. Va t’asseoir en attendant).
Lorsque le calme est revenu et que sa tante a pris la relève, Sergio essaie de caler son smartphone entre deux livres dans une petite pièce de la maison. Sur le rythme d’une instrumentale, il se met à chanter :

– « … Mi nai luku na deng, a na deng e meke mi go anga fesi. Mi e du sang mi wani en sang mi fii fu du. Sang na fu yu na fu yu, a nai luku mi. Yu kang taki sang yu wani a nai luku mi … »

(… Je ne m’occupe pas des autres, ce n’est pas eux qui me font avancer. Je fais ce que je veux et ce dont j’ai envie. Ce qui est à toi est à toi, ça ne me regarde pas. Tu peux dire ce que tu veux, cela m’est égal…).

Marotte et Rivaldo sont atteints de déficience mentale. Sergio est malvoyant.

Ce projet de fabrication de pirogue a pour but de les sortir de leur isolement, de leur permettre de se confronter au monde du travail, seuls ou en groupe.
Mêlées aux images de prises de vue réelles, les images smartphone tournées par Rivaldo, Sergio et Marotte leur permettront de documenter leur vie, se filmer, parler et se dévoiler tout au long des épisodes de la série.

GRUSON François
Guyane
Durée prévue : série de 10 x 10 min

• ÉTAPES DE PRODUCTIONS
En développement

• DATES DE TOURNAGE PRÉVUES
Janvier à mai 2021

• AIDES ÉVENTUELLES
aucune

• PRODUCTION ENGAGÉE
5° Nord (Guyane)

• RECHERCHE QUOI ?
Des diffuseurs

• LANGUES PARLÉES
français, anglais

QUAND ?

MERCREDI 07/10/2020

• De 9h à 13h (heure de Guyane)
• De 14h à 18h (heure de Paris)

Hairouna, land of the Blessed

Connaitre ses racines, ne signifie pas se connaître soi-même.
RÉSUMÉ

Sur une île paradisiaque dévolue au luxe, Hairouna, Terre des Bienheureux, demande : « Qui suis-je ? »
Un jeune homme de la nation des Caraïbes, à Saint-Vincent-et-les Grenadines, découvre qu’il descend des «Black Caribs» qui ont survécu au génocide et à l’exil pendant la colonisation anglaise. Il parcourt l’île en apprenant tout ce qu’il peut sur son héritage perdu auprès d’historiens, d’activistes et d’artistes. Mais pour gagner la réconciliation spirituelle, il doit se rendre en Amérique centrale pour y apprendre la langue de ses ancêtres auprès des descendants des exilés qui la parlent encore dans des communautés tout le long de la côte caraïbe.

BIO DE l’AUTEUR
Akley Olton est un cinéaste et artiste visuel basé à Saint-Vincent-et-les Grenadines, passionné par les histoires qui inspirent et provoquent. Il se consacre au développement du cinéma caribéen et a été formé aux arts visuels, au graphisme, à l’animation et à la production cinématographique et audiovisuelle. Il a bâti une carrière professionnelle en tant que directeur de la photographie, avec plus de 8 ans d’expérience dans la prise de vues, l’étalonnage, la production vidéo, sur plusieurs projets locaux, régionaux et internationaux, y compris des films de fiction et documentaires primés.
NOTE D’INTENTION

Hairouna est un mot Kalinargo. En anglais, cela signifie le pays des bienheureux. C’est ce que pensent des centaines de milliers de Garífunas d’Amérique centrale et du Nord à propos de Saint-Vincent-et-les Grenadines, alors que nous à St. Vincent ne savons même pas ce que cela signifie ; alors que nous ne faisons aucun effort pour apprendre leur langue, qui est aussi la nôtre. Un pays sans image est un pays qui n’existe pas, Un peuple sans histoire est destiné à un état de ruine perpétuelle. Quelle est l’image de mon pays, de mon peuple? Suis-je un Garifuna? Je ne sais pas. Je ne sais pas si une vie me suffira pour savoir. J’ai l’intention de questionner mes origines et de les exposer dans ce film pour en tirer des conclusions.

Suis-je Garifuna ? Non seulement je leur ressemble, mais j’ai aussi découvert que j’avais plus en commun avec eux qu’avec n’importe quel Anglais. Imaginez ce que ce serait de vous réveiller dans votre ville, où vous êtes né et avez grandi, et réaliser que vous êtes un parfait inconnu, que vous vous sentez comme un touriste chez vous. Ce documentaire vise à sauver cela. Nous avons commencé un voyage à travers Saint-Vincent pour retrouver notre culture, pour dire à tout le monde quelle est notre histoire. En le découvrant, j’ai découvert le Honduras, le pays voisin.

Les Garífuna ont été expulsés de Saint-Vincent et se sont réfugiés au Honduras et où ils ont résisté aux colonisateurs pendant plus de 3 siècles, mais maintenant ils font face à un ennemi plus puissant contre lequel ils ne sont pas prêts à se battre. Leurs territoires ont été vendus par le gouvernement pour construire des stations balnéaires et exploiter les plages. Leurs enfants ne parlent plus le garifuna, leur culture est étiquetée et vendue comme quelque chose d’exotique, les voix qui peuvent nous raconter notre histoire sont étouffées. En tant que documentariste, je ne peux pas changer cela, mais ce que je peux faire, c’est sensibiliser, créer un témoignage pour les générations futures et dénoncer.

SYNOPSIS

Saint-Vincent-et-les Grenadines est un paradis tropical pour profiter de la nature et se détendre dans des hôtels luxueux. Une forêt tropicale luxuriante, des plages idylliques, des récifs coralliens et des lagons turquoise. Les gens viennent d’Amérique du Nord et d’Europe pour se prélasser sur nos plages de rêve. Voyager à travers les Grenadines est l’endroit où vous voyez le summum du tourisme. Luxe et distinction pour les millionnaires du monde entier. Même Tommy Hilfiger vit ici. Mégayachts, manoirs, hôtels, eaux calmes immaculées. Les touristes aiment les vacances d’été, ils vont dans les restaurants, les hôtels et les boîtes de nuit pour passer un bon moment. Mais grandir dans les Caraïbes a toujours été pour moi un sentiment de perte. Partout où j’ai vécu, j’ai appartenu à quelqu’un d’autre.

Mon père m’a quitté quand j’avais deux ans, du moins c’est ce que ma mère m’a toujours dit. Il est allé aux îles Vierges britanniques, pour trouver de meilleures opportunités que ce qu’il avait ici à Saint-Vincent. Tous mes frères et sœurs ont un père différent et sont différents de moi. Ma mère a donc travaillé à nettoyer des maisons de luxe et des chambres d’hôtel, pour que je puisse profiter de mon enfance et avoir une bonne éducation. Parfois, elle m’emmenait avec elle et je l’aidais. C’est ainsi que j’ai commencé à voir comment vivaient les riches Vincentiens. Les employeurs de ma mère me donnaient parfois des jouets, des livres et des vêtements. De cette façon, je m’habillais toujours mieux et j’avais des choses plus chères que les autres enfants de ma communauté. Ma mère voulait aussi que je me sente à l’aise et que j’aie la même expérience scolaire que les autres enfants de l’école chic que j’ai fréquentée.

Même si j’étais boursier, nous devions encore acheter des fournitures coûteuses. Sur la liste des livres qu’elle devait acheter, il y en a un qui était particulièrement cher, mais nécessaire, un Atlas. Maman a économisé et nous l’avons finalement acheté. Lorsque j’ai ouvert le livre pour la première fois, dans mon cours de géographie, j’ai réalisé que Saint-Vincent-et-les Grenadines n’apparaissait pas sur la carte du monde. Au lieu de cela, les enseignants nous ont appris l’histoire britannique.

Mes livres d’histoire contenaient donc des images de manoirs et de plantations coloniales qui pour moi ressemblent aux hôtels que ma mère nettoie aujourd’hui. Ce que j’aimais dans ces images, c’était leurs arrière-plans – les collines et les couchers de soleil. Toutes les images que j’ai vues de personnes qui me ressemblent nous représentaient enchaînés, travaillant dans les champs ou fouettés. La seule chose que j’ai apprise sur mes propres ancêtres, c’est que les Britanniques les ont réduits en esclavage. J’ai ressenti le besoin de trouver des images de moi-même et de mes ancêtres. La première chose que j’ai faite quand j’étais enfant a été de dessiner, avant même de pouvoir écrire mon nom. Et en tant qu’adulte, j’ai découvert d’autres images qui font partie de l’histoire de Saint-Vincent.

Il y a des pétroglyphes dans toute l’île. Vraisemblablement, la tribu Caraïbe a gravé ces images sur des roches pour exprimer ses propres identités et histoires. Il en existe plusieurs dans le village de mon père, appelé Greggs, qui est un village que les Britanniques n’ont jamais colonisé. Greggs était caché et traversé par deux rivières. Pendant des années, les Anglais ne savaient même pas qu’ils étaient là. En visitant le village, j’ai vu d’autres pères apprendre à leurs fils à jouer au cricket. J’étais jaloux. Plus tard, j’ai découvert que ma jalousie était également imprégnée de douleur et d’un sentiment de trahison.

Maintenant, je veux être père moi-même et c’est une pensée qui m’effraie. Parce que je veux enseigner à mes enfants autre chose qu’un héritage de l’esclavage, et je ne sais pas comment. Je veux leur parler des Mandingues qui ont traversé l’Atlantique depuis l’Afrique, ont rencontré des peuples autochtones ici, et qui se sont engagés dans des formes d’échange passionnantes et fructueuses sur cette belle île que j’appelle chez moi. Mon film cherchera ces images pour mes enfants en regardant vers mon passé, un passé que je vais devoir dessiner et filmer pour le faire exister – contre l’effacement et l’esclavage qui ont longtemps limité ma vision.

A mon arrivée au Honduras, je me rend compte que les Garifuna sont encore confrontés à l’exil, cette fois en raison des investisseurs qui veulent construire des hôtels sur leur terre et leur plage. Mon film en forme de road trip explore la relation entre les traditions et la culture moderne d’une manière profondément personnelle.

OLTON Akley
St Vincent & les Grenadines
Durée prévue : 75 min

• ÉTAPES DE PRODUCTIONS
En développement

• DATES DE TOURNAGE PRÉVUES
Avril – Novembre 2021

• AIDES ÉVENTUELLES
aucune

• PRODUCTION ENGAGÉE
Island Rebel Media

• RECHERCHE QUOI ?
Des coproducteurs

• LANGUES PARLÉES
anglais

 

QUAND ?

MERCREDI 07/10/2020

• De 9h à 13h (heure de Guyane)
• De 14h à 18h (heure de Paris)

MISE A JOUR DU 7 OCTOBRE : 

Nous pouvons dorénavant accueillir 400 personnes au Camp de la Transportation.

——

 

Malgré une amélioration de la crise liée au coronavirus en Guyane, les règles liées à l’état d’urgence sanitaire persistent. Nous sommes cependant très heureux d’annoncer que nous pourrons accueillir jusqu’à 200 personnes au Camp de la Transportation pour assister aux projections en plein air des films sélectionnés par le FIFAC. Nous avons fait en sorte que l’aménagement de l’espace soit optimisé pour assurer le respect des gestes barrières et la sécurité de chacun.e et avons pris des mesures conformément aux recommandations de la DGCA :

  • Respect de la distance de 4m² par personne (soit 1m² autour de la personne)
  • Ré-organisation de l’espace garantissant une organisation laissant un fauteuil vide entre les groupes de spectateurs
  • Limitation des groupes de spectateurs à 10 personnes
  • Port du masque obligatoire dans tout le Camp de la Transportation
  • Mise à disposition de produits et matériels destinés au lavage des mains pour le public et l’organisation
  • Nettoyage et désinfection des équipements et des locaux
  • Solutions hydroalcooliques à l’entrée du Camp de la Transportation
  • Affichages des mesures barrières à l’entrée du Camp
  • Invitations au public à arriver en petits groupes

La responsabilité de chacun est engagée et nous mettons tout en œuvre pour que le public et nos équipes passent le meilleur moment possible lors de cette édition du FIFAC. Rendez-vous mardi !

Retrouvez toute notre actualité sur

martinique la 1ère
SALCÈDE Laurent

Directeur des contenus

laurent.salcede@francetv.fr

Martinique La 1ère – France Télévisions

https://la1ere.francetvinfo.fr/martinique/

POSEZ VOTRE QUESTION ?

LES DÉCIDEURS

LE MENU DES PROS

ASSEZAT Christophe

Responsable du pôle fiction/documentaire

christophe.assezat@tv5monde.org
01 44 18 55 47

 

MANOURY Delphine

Chargée de programme documentaire

delphine.manoury@tv5monde.org
01 44 18 55 89

TV5 Monde

Ligne éditoriale : Chaîne généraliste en langue française.

ACTIVITÉ PRINCIPALE : Pré-achats et achats de droits.

http://www.tv5monde.com/

POSEZ VOTRE QUESTION ?

LES DÉCIDEURS

LE MENU DES PROS

lcp - assemblée nationale
PISANI Isabella

Responsable de l’unité Documentaire et des Acquisitions

i.pisani@lcpan.fr
01 40 63 90 41

LCP – Assemblée Nationale

La case documentaire de LCP s’inscrit dans le cadre de l’émission DEBAT DOC présenté par Jean-Pierre Gratien.
Tous le soirs à 20h30 un documentaire de 52/55 minutes est diffusé suivi d’un débat.
Thématiques : politique, histoire, société  et international/géopolitique.
Nous souhaitons diversifier les écritures documentaire avec aussi bien des signatures que des premières œuvres, des films d’auteur que d’investigation.

ACTIVITÉ PRINCIPALE : Coproductions, préachats et achats

https://www.lcp.fr/

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LES DÉCIDEURS

LE MENU DES PROS

DUGÉ Emmanuelle

Chargée des acquisitions

partenaire@docstv.fr
acquisitions@docstv.fr
06 70 06 59 40

DOCSTV

ACTIVITÉ PRINCIPALE : acquisitions de droits SVOD : partage de revenu 50/50, achat de droits et pré-achats

http://www.docstv.fr/

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LES DÉCIDEURS

LE MENU DES PROS

RMC Découverte
rmc story
SALLÉ DE CHOU Stéphane

Directeur des programmes de flux et Documentaires

ssalledechou@rmcdecouverte.fr
06 64 03 91 53

RMC DECOUVERTE – RMC STORY

RMC Découverte c’est la chaîne plus forte que la fiction.
C’est une chaîne de documentaires, orientée vers les téléspectateurs 25-49 ans, plutôt masculins mais on n’exclue en aucun cas les femmes.

RMC Story c’est la chaîne des histoires vraies, largement concentrée en prime-time autour de documentaires tout en images, qui s’adressent eux aussi aux 25-49 ans, avec une « porte d entrée » plutôt féminine, sans exclure les hommes.

ACTIVITÉ PRINCIPALE : Production, coproduction et pré-achat

https://rmcdecouverte.bfmtv.com/
https://rmcstory.bfmtv.com/

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LES DÉCIDEURS

MANDEREAU Alizée

Chargée de production (en charge des préachats)

alizee.mandereau@tenk.fr
04 75 94 57 10

TËNK

La plateforme SVOD Tënk est entièrement consacrée au documentaire de création.

ACTIVITÉ PRINCIPALE : Achat de droits
Activité secondaire : préachats  

https://www.tenk.fr

POSEZ VOTRE QUESTION ?

LES DÉCIDEURS

La deuxième édition du Festival International du Film documentaire Amazonie-Caraïbes prendra place au Camp de la Transportation à Saint-Laurent du Maroni… mais aussi partout dans le monde grâce à la mise en place d’une édition connectée d’envergure.

Du 06 au 10 octobre, le FIFAC prendra vie et documentera la région Amazonie-Caraïbes avec plus de 40 films documentaires et webdocs diffusés en plein air, en VOD sur festivalfifac.com et sur les chaines de nos partenaires France Télévisions

Un dispositif mêlant les professionnels présents à Saint-Laurent du Maroni et les professionnels à distance permettra les échanges lors des rencontres professionnelles qui auront lieu tout au long de la semaine : sessions de pitchs, conférences et masterclass. Des rencontres dont certaines seront ouvertes au grand public, qui pourra également participer. Une organisation permettant de relier les humains malgré les défis sanitaires actuels.

Le FIFAC remercie France Télévisions et ses chaines Premières, la Ville de Saint-Laurent du Maroni, la Collectivité Territoriale de Guyane et tous ses partenaires qui ont apporté tout leur soutien et leur expérience pour une mise en place à la hauteur du challenge.

Cette année, et pour la première fois, le FIFAC a l’honneur d’être parrainé par SFR Caraïbe qui se positionne sur un événement culturel international et l’accompagne avec son expérience. Un gage de confiance audacieux pour une édition qui se le veut tout autant. 

Marijosé Alie

Marijosé Alie

Écrivaine, auteure, compositrice et chanteuse.

Canelle Kieffer

Canelle Kieffer

Directrice de production et présidente de l’association RMIA.

Marcelo Novais Teles

Marcelo Novais Teles

Scénariste, réalisateur et acteur

stanny-copet

Stany Coppet

Acteur, producteur et scénariste.

JL Milian

Jean-Luc Millan

Producteur

Dès le mardi 06 octobre, découvrez les documentaires qui nous ont inspirés, des professionnels qui sauront vous guider et un festival qui continuera à vous émerveiller. Rendez-vous dès maintenant sur notre site !

Contactez-nous par email 📩Appelez-nous au 0594 694 43 94 64

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